Élodie Parcours DUne Ado En Chaleur
Été 2019, région parisienne Élodie ne supporte plus cette chaleur étouffante. À 17 ans, la petite brune se fait chier en ce début d'été, et son téléphone reste malheureusement silencieux, tous ses potes bossent alors qu'elle n'a pas trouvé de job d'été "trop jeune, pas assez d'expérience, ...". Elle est la plus jeune de la bande, Mathieu le grand rouquin, Quentin le blond beau gosse, Enzo le tos baraqué, tous ont plus de 18 ans et bossent la semaine sur les chantiers du père d'Enzo.
C'est vendredi et la gamine se languit de les retrouver ce soir pour planifier le week end.
À cause de la canicule, son beau-père a décidé de fermer l'épicerie pour quatre jours, et avec sa mère, ils ont décidé de partir en province. Seule dans l'appartement elle se met à l'aise nue sous son débardeur et décide de tromper son ennui en surfant sur le net.
Elle visite les forums et mate quelques vidéos pourries pour finalement se mater quelques scènes pornos "pour une fois que je suis toute seule, j'vais en profiter un peu".
Après quelques minutes de surf, elle trouve une parodie de star wars assez marrante. Laptop ouvert sur son bureau, la gamine s'adosse à son siège, pose les pieds sur son bureau, écarte ses cuisses et commence à se caresser devant les scènes ubuesques.
Elle passe sa main gauche sous le doux coton, caresse son ventre luisant de sueur et commence à jouer avec un téton, alors que sa main droite frôle délicatement le duvet couvrant sa vulve encore fermée.
Les premières scènes sont plutôt pittoresques et affichent rapidement une princesse Leia prisonnière de l'empire en train de se branler la chatte dans sa prisonnière. Comme elle, la gamine est prisonnière de ses désirs et se chauffe rapidement la chatte en rythme avec la princesse prisonnière. Sa vulve s'ouvre rapidement sur des lèvres humides de mouille odorante.
La gamine soupire doucement sous ses propres caressent et s'attaque à son clitoris qu'elle titille du bout des doigts pour le faire gonfler.
Sans interrompre son doigtage vigoureux, elle att sa lampe torche "préférée" et imitant la princesse en action, elle mimique une fellation bien visqueuse du manche en silicone. Dans son délire, la brunette s'enfiche deux doigts dans la chatte et se branle au rythme du pompage de sa "bite" de fortune. Ny tenant plus, et sentant la jouissance monter dans la chaleur de son ventre, Élodie présente le talon de sa lampe torche à l'orée de sa vulve dégoulinante de mouille.
Dans un râle de soulagement, la gamine fait lentement pénétrer le petit tube cylindrique en elle et une fois arrivée en bout de course, elle humidifie ses doigts et commence les allers retours en elle tout en branlant son clitoris gorgé de sang :
-HUN HUN ... OH Oui seigneur Vador, punissez-moi ! ... Aaaah
La brunette sent la jouissance monter lorsqu'elle accélère le mouvement de son petit gode de fortune en rythme avec la prisonnière de l'empire :
-Aaaaaah putain .... Ouiiiii ....
Elle jouit au moment où l'homme en noir se repend dans la bouche ouverte de sa prisonnière. Coquine, Élodie imagine le liquide chaud se rependre dans sa bouche, et glisser sur sa langue pour qu'elle en savoure le goût. Essoufflée, en nage dans son débardeur, la jeune fille se rend sous la douche pour essayer de combattre la chaleur pesante de l'appartement.
"vivement que les gars finissent qu'on puisse sortir un peu" lorsqu'elle sort de la douche, le corps luisant d'humidité, les cheveux humide, elle vérifie son téléphone par réflexe, un sourire illumine son visage. "YEAH, on dirait qu'ils ont fini plus tôt", le message la ravit <On a fini :) 30 min au local ?> elle leur répond <direct ++>
Trente minutes, ça lui laisse juste le temps de vérifier le magasin, récupérer les fringues que sa mère a mis à sécher avant de partir, et se préparer pour les rejoindre :
-merde, la conne.
De retour dans sa chambre, elle se rend compte qu'elle n'a plus de sous-vêtements propres, sa mère l'avait pourtant prévenue de lui donner son linge sale. Elle enfile un petite robe d'été à bretelles fines, ferme les petites lanières de cheville de ses sandales compensées, se passe vite fait un coup d'eyeliner "pas besoin de se faire chier, de toute façon y fait trop chaud !" Elle dévale ensuite les escaliers pour vérifier le magasin avant de tout fermer pour la nuit et récupérer le linge pendu dans la cour intérieure.
Son beau-père avait dégoté ce magasin au rez de chaussée d'un petit immeuble de trois étage avec cour intérieure, et tout le monde adorait la petite brune qui se tenait toujours à carreau sous l'autorité stricte et ferme du second mari de sa mère qu'elle avait épousée il y a 5 ans. Élodie, alors âgée de 11 ans avait tout de suite accroché avec le trio d'amis avec qui elle fait les cent coups, comme un exutoire à l'autorité permanente qui règne chez elle.
Après avoir fermé l'avant du magasin, elle sort par l'arrière pour vérifier le stock, une habitude qu'elle a prise depuis qu'elle bosse avec sa mère et son beau-père. Un bruit attire son attention :
-ah c'est toi !
Elle vient de surprendre Raphaël qui finit de décharger le camion de livraison. Le grand échalas d'1m85 se retourne un peu surpris par la gamine, et l'accueil d'un sourire pervers :
-bonjour à toi aussi gamine !
Le jeune homme de 25 ans travail pour le magasin depuis 3 ans, il a vu la gamine évoluer
au fil des ans et ne lui a jamais caché qu'il se la farcirait bien. Aujourdhui ne fait pas
exception et la petite robe décolletée n'aide pas la situation, Élodie remarque bien le regard
gourmand du livreur sur ses seins sans soutien, par reflexe, elle plaque sa main sur le V de sa robe :
-ouais c'est bon, qu'est-ce que tu fous là ?
-ton père m'a demandé de lui préparer les livraisons de la semaine prochaine, merci du cadeau !
-d'abord c'est PAS mon père, et faut que tu te barres parce que je vais tout fermer, j'me barre et je suis à la bourre !
Sans se démonter, Raphaël s'approche de la petite brune, il passe ses grands bras fins autour de la gamine et d'un sourire narquois et sans aucune subtilité, il tente une passe :
-allez, fait pas ta prude, tu vas bien me faire une gâterie avant que je parte ?
Elle croise ses bras devant sa poitrine rebondie, le repousse comme elle peut et tente de faire demi-tour pour échapper à la prise :
-lâche moi putain ! HUN.
En voulant s'enfuir, elle lui tourne le dos, il en profite pour la saisir par la taille et la ramener vers lui :
-allez viens ici p'tite pute, je sais que t'en rêves de ma grosse queue ! j'ai les couilles qui déborde de foutre bien chaud juste pour toi !
Surprise par la force du grand maigre, la gamine ne se démonte pas et lui balance un coup de coude dans le flanc droit :
-vas-y dégage connard ! ...
Raphaël se recule sous le coup et fait tomber un pac de bouteille d'eau qui éclate à ses pieds, le grand échalas est sur le point de gueuler lorsqu'une grosse voix se fait entendre de lextérieur :
-tout va bien là-dedans ?
La porte arrière s'ouvre, laissant entrer un rayon de lumière dans le réduit, et la grosse tête moustachue de Mr. Grosbout apparaît dans l'entrebâillement. Soulagée de ne pas subir la colère du livreur Élodie s'empresse de répondre :
-tout va bien Mr. André, Raphaël allait partir et comme une cruche j'ai fait tomber ces bouteilles !
-'toute façon je sais que t'es une grosse chienne bouffeuse de bites ! un jour j'fournirai des preuves à tes parents ... on verra bien si tu ramènes encore ton gros cul d'salope!
Énervée et remontée, elle le chip en balançant : -puceau ! va !
Élodie lui fait un doigt et se retourne vers les bouteilles abîmées au sol, puis s'accroupit pour ramasser vite fait les bouteilles abîmées, elle est vite rejoint par le gros moustachu qui lui tend la main pour l'aider à se relever :
-laisse petite, ... voilà ! ... laisse-moi t'aider avec tout ce foutoir
Il eut vite fait de ramasser le pack de 10kg pour le remettre en place puis se tourne vers la gamine, l'air penaud et enjoué :
-c'est qu'il faudrait pas esquinter ces jolies mains ! lui dit-il en refermant ses grosses mains boudinées et calleuses autour des fines mains de la brunette
Elle lui sourit en retour et le remercie :
-merci Mr. André ...
"... de m'avoir sauvé de ce gros connard !" se dit-elle en prononçant ces mots.
Il la précède dans la cour puis se retourne sur elle en la lorgnant des pieds à la tête :
-c'est que tu deviens très mignonne ma belle, fait attention avec ce genre de gaillard, s'ils se font trop insistants, un bon coup dans les roubignolles ça les remet en place !
Gênée les joues rosies par une sorte de honte ine lorsqu'il attarde son regard mièvre sur ses rondeurs d'adolescente, elle lui répond :
-... HUM ... oui oui M'sieur André, mais ... euh ... s'il vous plaît 'pouvez garder ça pour vous ?
Se dirigeant vers le bâtiment, il lorgne les cuisses juvéniles et triturant sa moustache il répond :
-on verra mon petit ... on verra ...
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